Revue de Presse des Bicentenaires

Pour le chroniqueur de El Tiempo, Eduardo Escobar, "célébrer en ce siècle scientifique, corrompu, confus et si près des étoiles, le bicentenaire d’une indépendance hypothétique avec des lâchers des ballon gonflés à l’hélium et des pantomimes de vice-rois habillés en mousseline est, pour dire le moins, enfantin et candide mais tout de même significatif".

Gallardón est arrivé au Mexique pour participer au sommet de villes capitales hispano-américaines convoqué pour exprimer leur solidarité avec ce pays et exprimer leur une reconnaissance à la forme dont les autorités firent face à l’épidémie de grippe A.

Le mois de mai a une signification particulière dans le calendrier patriotique. On commémore des évènements fondateurs de notre "argentinité". Il démarre avec la Fête du Travail qui est pour tout Argentin, synonyme de protection, de famille et d’engagement. Nous fêtons aussi l’anniversaire de la création de la Marine nationale et de la glorieuse Armée Argentine. A cela il faut ajouter les festivités de la Semaine de Mai.

Les festivités du Bicentenaire de la Ville de Buenos Aires commencèrent lorsque le 25 mai à minuit, Bajofondo interrompit son concert pour chanter l’hymne national avec les presque 100000 personnes présentes, .

Le président bolivien Evo Morales a qualifié la journée consacrée à la commémoration du cri libertaire de Sucre "d’hommage à l’ensemble de l’Amérique Latine". Le Bicentenaire rappelle la première révolte américaine contre l’Espagne et pour l’indépendance.

Le Gouvernement demarrera les celebrations du Premier Cri Libertaire d’Amérique avec une manifestation à Raveli, Potosi, lieu de naissance de l’héroïne Juana Azurduy de Padilla. Auront lieu ensuite des manifestations en hommage à Tomás Sucre, protagoniste du siège de Sucre en 1780.

Sous le slogan "Premier Cri Libertaire en Amérique. Sucre : ici est néé la Liberté", la Bolivie est la première nation américaine à commémorer la Bicentenaire de l’Indépendance, le 25 mai.